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Association Historique de Ficheux
26 novembre 2010

RANSART

Blason

ransart

Armes de Widebien D'Ignaucourt De Treize.
De sable à la bande d'argent chargées de trois têtes de lions de gueules.

 

Origines

Toponymie :

Ransart en 1169  - Ranssart en 1329.
Avec lat sartum, défrichement.

Du romain Hrabni Exartum ou essart de Hrabun (nom d’homme).

 

Le château :

Il y avait une importante forteresse constituée en une enceinte flanquée de sept  à douze tours avec un donjon.
Le donjon s’élevait sur une colline de terre en forme de fer à cheval. Celle-ci était encore visible au XIXème siècle ainsi qu’une tour qui servait de pigeonnier. Il ne reste rien de cet ensemble si ce n’est une surélévation du terrain par rapport au sol avoisinant.

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Vie religieuse

Vocable : St Laurent.

Première mention  connue lieu de culte ou autel : Autel 1142 Église 1170.

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Le village

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26 novembre 2010

RIVIERE

Superficie communale : 11,9km².

Population (2014) : 1131 habitants.

Nom des habitant(e)s : les Riviérois et Riviéroises.

Site de la commune : http://commune.riviere.free.fr

 

Blason

riviere

 

Origines

Découvertes archéologiques :

Découverte au sud du Blamont ; en creusant des tranchées en 1915, les soldats alliés découvrent un vase contenant  plus de 1000 monnaies de Tacite, Probus, Maximien, Constance etc. … Au même endroit, découvert de onze fosses contenant des tessons du Bas Empire.

Toponymie :

Rivières en 1158 – Riparia, bord d’un cours d’eau, rivage, pays environnant.

Seigneurie :
   

BRETENCOURT : le hameau est situé sur la rive droite du CRINCHON, sur la route venant de Wailly-les-Arras et allant vers Pas, laissant sur la gauche quelques maisons du Blanc Mont.

Brétencourt doit son origine ( Bretenkort en ) à une ancienne forteresse élevée sur les bords du Crinchon et se rattachant à un ancien ensemble de défenses dont faisait partie celles d'Achicourt.

En 1241, le Comte Robert d'Artois autorise Wagon à édifier la forteresse.
Au XVème siècle, le domaine appartient à la Famille de St Pol.
En 1393, Pierre de St Pol présente au magistrat d'Arras une requête dans laquelle il se plaint des dommages causés à ses "héritages" par les eaux du Crinchon.
Brétencourt passe ensuite dans la famille de Warluzel par mariage de Jeanne de St Pol avec Herlin qui meurt à la baztaille d'Azincourt en 1415.
1482, Jean de Warluzel est seigneur du lieu.
Au XVIème siècle, la famille de Warluzelle s'éteint, et au XVIIème siècle, la forteresse est ruinée.
Milieu du XVIIème siècle, Brétencourt est acquis par Philippe de Briois.
Au XVIIIème siècle, Mr Briois de Beaumetz aménage le château et sa sœur, Melle Albertine Isabelle Briois, y loge jusqu'au 1er décembre 1793. Elle sera guillotinée à Arras le 7 Juillet 1794.
En 1820, la forteresse est vendue à la famille Lallart de Lebucquière qui la démolit. Une maison plus simple lui est substituée. Elle sera achetée, plus tard, par Mr Maurice Hattecourt, puis en 1894, Mr De Clerck en devient le propriétaire.

Il semble que le plan général de ce château constituait en une enceinte polygonale avec quatre tours : deux plus importantes de chaque côté de l’entrée et deux plus petites sur le mur ouest. L’ensemble fut détruit en 1820 pour laisser place au château actuel. Une douve profonde à l’écart de celui-ci semble être le seul reste du château primitif  à l’heure actuelle.
Il y existe encore une motte féodale, elle a la forme d’un dôme d’une trentaine de mètres à la base, haute de 4 mètres, son sommet à la forme d’un rectangle de 18 mètres sur 16.

Avant la Révolution, Rivière était divisé en 6 hameaux.

     
GROSVILLE Geroldvilla (villa de giraud)
En 625, l'abbaye de Corbie est propriétaire de la terre de Brosville.
Par la suite, les religieux d'Arrouaise l'obtiennent par échange entre les deux abbayes.
La seigneurie de Grosville relève du Roi de France en sa qualité de Comte d'Artois.
Au XIIème siècle, le fief de Grosville est l'apanage du châtelain d'Arras.
En 1220, il passe dans la famille de Beauffort par mariage.
1598, Anne de Beauffort l'apporte en dot à Phillipee de Croÿ-Solre
1610, la famille de Cro

 

Le château de Grosville :

   Construit en 1674 par le chanoine Philippe Guillaume Lhoste sur les caves d'un bâtiment édifié en 1690 par son oncle François de la Charité . Grosville est une charmante gentilhommière . Son maitre d'oeuvre est André Merville , auteur également du chateau de Duisans et de l'Abbaye du Mont Saint Eloi . En 1975 Mr et Mme Hugues de Diesbach en font l'acquisition  aux héritiers du  général de Grosville .

L'accés à la cour  se fait par un portail monumental en pierres , surmonté par un fronton triangulaire dont les armoiries ont été bûchées pendant la Révolution .

La gentilhommière comporte un rez -de- chaussée et un étage sous combles mansardés . L'aile centrale est agrementée de panneaux de briques autour d'un avant -corps surmonté d'un fronton trianglaire et  deux petites ailes encadrent la cour. La toiture est en ardoise .

La façade arrrière est ornée de pilastres et s'ouvre sur un parc de 10 hectares .

L'un des joyaux de Grosville est son monumental pigeonnier construit en 1702 . Il comporte 1400 niches ; il est l'un des mieux conservé dans le Nord de la France.   

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Vie religieuse

Vocable : St Vaast.

Première mention connue desservant : Hugues Prêtre de Grosville 1251.

 

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Le village

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Guerres et Mémoires

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26 novembre 2010

SIMENCOURT

Site de la commune : http://www.simencourt.fr

 

Blason

simencou

 

Origines

Découvertes archéologiques :

Entre Simencourt et Berneville en 1756 découverte d’une certaine quantité de monnaies du Bas Empire.

Toponymie :

Maisbodivilla en 752 -757 : Simenkort en 1071 - Symonis  Curtis en 1154  Simon Curtis = ferme de Simon (germanique).

Seigneuries :

Le village, anciennement mentionné sous le nom de Mandbodvilla, a été transféré auprès de l'église St Ménard, par Simon dont le nom fut retenu pour la nouvelle communauté (voir Guimann, texte du XIIème siècle).
La villa était alors tenue de l'Abbaye St Vaast, cédée en fief au seigneur de Noyelle Vion. Saint Vaast possède dans ce village treize hôtes, trois coutumes et la moitié des revenus du bois.
Un baudouin de Simencourt témoigne comme fidèle de Saint Vaast en 1157-68 d'un acte de Thierry d'Alsace, comte de Flandres.
Au XVIème siècle, la seigneurie éminente est tenue par Pierre de Piennes, écuyer et bailli du gaule de 1513 à 1525 et par Charles de Miraumont en 1550.

Le Château :

Type : motte
Elle est à l'extérieur du village à 950 mètres au nord de l'église, en bordure d'un petit plateau à 120 mètres d'altitude.
La motte est certainement liée en partie au défrichement.
Un autre toponyme, "la vieille ville" à cet endroit pourrait témoigner d'une implantation plus ancienne.

Au XIXème siècle, A. de Cardevacque nous apprend qu’il existait autrefois une maison seigneuriale qui «constituait en un simple corps de logis, avec une tour carrée, assez élevée et surmontée d’une petite flèche » située près de l’église. IL existe encore une motte située à 950 mètres au nord de l’église. Cette motte est dissymétrique, petite et cernée de fossés profonds et secs.

 

Vie religieuse

Vocable : St Médard.

Première mention connue lieu culte / Autel : Eglise 1154.

Première paroisse : 1806.

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26 novembre 2010

WARLUS

Superficie communale : 543 hectares.

Nombre d'habitants (2014) : 373 habitants.

Nom des habitants (es) : les Warluziens et Warluziennes

Site de la commune : http://warlus.fr/

 

Blason

blason

 

Ecartelé au 1) et au 4) de gueules à l'écusson d'argent au 2) et 3) d'azur à la fasce d'or.

 

Origines

Découvertes archéologiques :

Vers Duisans  tombes du IIème siècle.
Aux lieux dit les Vingt deux près de la RD 59  villa gallo- romaine à galerie façade (Photo aérienne).         

Toponymie :

Garluise en 1102. Flamand Water (eau) et lôh (bois) d’où « bois de l’eau ».


Seigneuries :

Au XIX ème siècle, il était attesté la présence des restes d’une motte entre Warlus et Duisans avec les traces d’un grand fossé circulaire. 

famille patronymique :

XIIème siècle : Christophe témoigne d'une sentence de Philippe d'Alsace.
Ente 1170 et 1197, il détient quatre mencaudées de terres à Warlus, de l'abbaye St Vaast.
1209 : Nicolas et Godefroy de Warlus, frères chevaliers, témoignent de la vente à l'église du quart de Basseux par Soyer, seigneur de Beaumetz, châtelain de Bapaume.
1212 : Robertus de Warlus témoigne d'une notification de Gilles de Beaumetz, châtelain de Bapaume.
1329 : achat par Guislain de Warlus à Jacques de Ransart de treize mencaudées de bois. Il est alors marié à Marie de Basquehem. Deux ans plus tard il témoigne d'une sentence abbatiale.
Ces personnages ne sont pas mentionnés comme seigneurs. Seul Christophe tient un fief de 4 mencaudées de terres à Warlus.
Les seigneurs depuis le XIVème siècle :
- Comtes de St Pol puis famille de Châtillon
- Milieu du XIVème siècle : Jean Tirel (tué à Azincourt en 1415), acquiert la seigneurie par mariage avec Marguerite de Châtillon.
- Puis, familles de Soisson, de Moreuil, de Lens
- Milieu du XVIIème siècle : Maximilien de Sainte Aldegonde, gouverneur général d'Artois. Son beau fils, Pierre Eugène de Gavre, marquis d'Ayseau, devient seigneur de Warlus.
- 1676 : la terre de Warlus est vendue à Jean Baptiste Boucquel, écuyer, conseiller au Conseil d'Artois, qui en 1688, fit construire le château.

La famille Boucquel : ascension d'une famille

Robert Boucquel , au milieu du XVIème siècle , était bourgeois à Arras et marchand comme le fut après lui son fils et son petit fils . Ses arrières petits fils François et Jean Baptiste obtinrent leur lettre de noblesse . Jean Baptiste choisit une carrière juridique . Avocat il fut anoblit en 1675 par l'achat d'un charge de secrétaire du Roi . Les revenus lui permirent d'acquérir les seigneuries de Warlus et d'Hamelincourt et de faire reconstruire le château de Warlus . les trois générations suivantes de Boucquel confortèrent leur fortune en réalisant de judicieuses alliances matrimoniales avec les familles :Qarré du Repaire , Quarré de Chelers , des Lyons , Lejosne -Contay , de Brandt , de La Bazèque 

 

Vie religieuse

Vocable : St Lambert.

Prèmière mention connue lieu de culte / Autel : Autel 1098.

Première mention connue paroisse : 1306.

Warlus est secours de Berneville vers 1170.


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Le village

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26 novembre 2010

MONCHY AU BOIS

Population (2000) : 483 habitants.

Superficie communale : 1098 hectares.

Site de la commune : http://home.nordnet.fr/~mairie-monchyaubois

 

Blason

monchy

Armoiries de l'Abbaye de Corbie, seigneur de Monchy jusqu'au XVème siècle.
Ecartelé aux 1 et 4 de gueules au chef d'argent, aux 2 et 3 d'or plein.

 

Origines

Découvertes archéologiques :

En 1882 découverte dans un lieu indéterminé de deux tombes située à 1 km de distance l’une de l’autre ; objets trouvés : fiole en verre, statuette en terre cuite de Vénus, miroirs, vases noir, gris et rouges, deux disques en bronze, lampe en terre et monnaie de Posthume 
Deux vases à haute épaule ondulée, en pâte grise, provenant de sépultures mérovingiennes découvertes avant 1920 près de l’église en creusant les fondations de la mairie :

Toponymie :

Monciaco en 657-661 : Domaine de Montius.

 

Seigneuries :

L’abbaye de Corbie possédait «  un domaine considérable » dont la donation remonte à 662 (confirmée en 825 et 1108 par l’évêque Lambert à Monchy au bois, a longtemps eut aussi une prévôté. Cette seigneurie était la principale du village
L’Abbaye de Corbie échangea ses propriétés à Monchy au Bois avec l’Abbaye d’Arrouaise par un accord conclu le 27 Juin 1568.
Il existait un seigneur de Monchy en 1225 : le chevalier Nicolas de Beaucamp. Son successeur, Théobald, sire de Berles y établi une léproserie en 1283    dans l’actuelle rue Saint Ladre. 
Autre seigneurs présents dans le village : maison de Beaufort (XVème siècle) ; de Croy, comte de Solre.

Le château :

 Présence d’un manoir flanquée d’une tourelle portant un étendard seigneurial est attesté en 1605-1610 (Albums de Croy) ; Il ne s’agit là que d’un logis seigneurial, peut être fortifié et pas d’un château fort. A noter que sur un plan cadastral de 1823 on trouve une ancienne ferme seigneuriale situé rue du presbytère (près de l’église). Face à celle-ci existait le fief de la « mayerie » (une mesure de terre = 42ares 91 centiares) appartenant à Charles François joseph de Fromentin (seigneurie vicomtière) au XVIIIème siècle.

 

Vie religieuse

Vocable : St Pierre.

Première mention connue lieu de culte/Autel : Autel et église en 1108.

Première mention connue desservant : Prêtre 1108 Nicolas Prêtre de Monchy en 1224.

Édifice bâti en 1611, clocher de 1628, démoli en 1793. (Sauf la tour).
Travaux au chœur et à la toiture en 1828, refonte de la cloche en 1864, pavage du chœur en 1870-1871, couverture de la flèche, des nefs et du chœur en 1886.
Église détruite en 1914 - 1918.
Nouvel édifice construit (en briques) entre 1929 et 1933 : Soubassements en grès, façade du clocher en grès de Saverne
Intérieurs : chapiteaux des piliers en staff décoré. La découverte de sapes de guerre entraînera un coût supplémentaire de 110 829 francs.

Chapelle :

Mentionnée au même endroit en 1823. L’actuel édifice a été réédifié en 1932.

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Le village

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Guerres et Mémoires

Guerre de 1870-1871 :

A la prise des 43 ulhans , un épisode de la guerre de 1870-71 en Artois Guerre de 1870-1871 :

 Le 8 janvier 1871  au lieux-dit " le cabaret Boiry", à la sortie de Monchy au Bois (direction Ransart) , 43 cavaliers prussiens sont en train de dîner lorsque qu'une vingtaine de tirailleurs volontaires du Nord , venant du côté de Ransart en suivant le ravin , arrivent à la faveur d'une bourrasque de neige en face de l'établissement. Sommés de se rendre par le capitaine Delaporte et le lieutenant Denal , responsables du détachement , l'officier prussien commandant et ses hommes essayent de prendre la fuite en enfourchant leur chevaux sellés dans la cour. Cette tentative est accueillie par des coups de fusils qui mettent à terre hommes et montures . Le chef est blessé au bras droit , trois de ses soldats sont tués sur le coup et un autre mortellement blessé. Les autres jugeant toute résistance inutile se constituent prisonnier avec armes , bagages et chevaux . On les conduit d'abord au quartier général de l'Armée du Nord mais dans la soirée ils sont ramenés à Arras et écroués à la maison d'Arrêt .

Le village a été détruit en 14-18 . Ernst Jûnger , écrivain allemand , évoque son séjour dans le village de Septembre 1915 à Aout 1916  dans   "Orage d'acier"

Source Emmanuel Riche - Chroniques villageoises - AHF - bulletin 2004/2005  mairie3__1600x1200_

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26 novembre 2010

HENDECOURT LES RANSART

Superficie communale : 221 hectares.

Population : 125 habitants.

 

Blason

hendecor

Armoirie des sergeant, seigneur d'Hendecourt en 1570 d 'azur à trois gerbes liées de gueules.

 

Origines

Toponymie :

Première mention connue : Hennanicurtis en 674

Hanna  nom d’homme germanique  et court (contraction latine Co-Hortis qui désigne entre autres, la cour de ferme et de là l’ensemble des bâtiments). 

Seigneuries :

189 : Jacques chevalier d’Hendecourt

Fin XIIème siècle : Gilbertus de Hendecourt

1300 : famille de Fariol

XVème siècle : famille de Guînes

1578 : Loys Ie Sergeant achète la seigneurie d’Henedecopurt les Ransart à Antoine Dhalluin

1750 : mort d’Adrien Joseph Le Sergeant, inhumé dans l’église

AN II : Louis Ignace le Sergeant monte sur l’échafaud le 10 Germinal

Le château

Deux éminences selon le Dictionnaire Archéologique du Pas de Calais : l’une à l’entrée du village du côté de Blairville, l’autre environnées de Fossés et dominant la vallée vers Hendecourt et Ayette. Au début du XVIII ème siècle, la seconde de ces buttes fut rasée et les fossés comblés.

Vers 1730 Louis le Sergeant, seigneur du lieu fait construire un château de Style Louis XIII. 

En 1878 Eugène Xavier de Diesbach achète la terre et le château à la famille Le Sergeant.

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Vie religieuse

Vocable : Sainte Marie (Nativité de la Vierge au XVIIIème siècle).

Première mention connue du culte : Autel en 1098.

Reconstruite en 1923-1926.

Chœur en Lambris.

Décor vitré réalisé par Mr Mauméjean

Deux verrières du chœur exécuté en 1937 le reste de la vitrerie est exécuté entre 1954 et 1962.

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Le village

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26 novembre 2010

LA CAUCHIE

Population : 209 habitants.

Densité : 95 hab / Km².

 

Blason

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D'argent azur pal des gueules chargé d'une chapelle d'argent.

 

Origines

Toponymie :

Calceia, 1058. Forme de pic, lat Calceata, chaussée ou route, désigne le plus souvent une voie romaine (voie d’Arras à Amiens).

Seigneuries :

1058 : Izambart de Calceaya est témoin de la charte faite à l'abbaye d'Hasnon de la villa d'Auchico.
1154 : Sire Verry El Kalchie.
Jusqu'au milieu du XVIIIème siècle, le village n'est qu'un hameau dépendant de Bailleulmont.
1789 : il existe, à l'est du village, une ferme appelée « La Hayette » appartenant à la famille de Béthune Hesdigneul.

 

Vie religieuse

Vocable : St Martin

A noter

Des origines au XIXème siècle, certains villages non érigés en paroisse sont desservis par le prêtre de la paroisse-mère ou son vicaire. Ce sont de secours ou annexes.

Bailleulmont, Bailleulval, La Cauchie, La Herlière (jusqu’en 1767) sont regroupés dans la même paroisse.

Source B.Delmaire : « le diocèse d’Arras de 1093 au milieu du XIVème siècle ». MCDHA PDC – Tome XXXI Arras 1994.

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Le village

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26 novembre 2010

LA HERLIERE

Blason

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Armoiries des Imbert de La Bazeque (lieu-dit et domaine agricole des Imbert).

 

Origines

Découvertes archéologiques

A la croix de la Bazèque : trace occupation gallo-romaine.

Toponymie

Le Herlerier au XIIème siècle – Le Helliere  en 1315 – Ancien français harle, fossé.

 

Le château

On pense que la ferme de La Bazecque servait de maison forte. Pas de présence de motte ou de fossés.

 

Vie religieuse

Vocable : St Jean l'évengéliste.

Secours de Bailleulmont (détaché de cette paroisse en 1767).
Annexe de Bavincourt en 1804.

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Le village

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26 novembre 2010

MONCHIET

Superficie communale : 274 hectares.

Population : 84 habitants.

 

Blason

monchiet

D'azur au château d'argent sur une motte du même, posé sur une rivière d'or.

 

Origines

Toponymie :

Moncella en 1169.

Mont  nom d’origine latine (Moncellum : colline) + suffixe et

 

Le château :
Il existe au sud de ce village une motte boisée, située derrière l’église, elle n’a plus d’accès direct. On devine encore les restes de fossés, un faible talus dans la pâture la jouxtant laisse à penser qu’il s’agit des restes de la basse-cour. Le dictionnaire archéologique et historique du Pas de Calais indique une «  motte très élevée, entourée de Fossés, et en dessous de laquelle il y a un puits ; ce qui fait penser qu’il a existé autrefois un château sur cette motte ».

 

Vie religieuse

Vocable : St Jacques.

Rattaché d’abord à la communauté d’habitants de Simencourt - Monchiet n’avait pas à l’origine de lieu de culte.
Eglise Saint Jacques.
Portail classique à fronton triangulaire daté de 1769.
Cloche de 1874 (nommée Amée Ludivine).

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Le village

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26 novembre 2010

BOIRY SAINTE RICTRUDE

Superficie communale : 5.81km².

Population (2014) : 404 Habitants.

Nom des habitants : Les Boirysiens

Densité : 70hab/km².

 

Site internet : http://www.boirysainterictrude.fr/

 

Blason

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« Parti à dextre d'azur à une sainte Rictrude d'argent, tenant un livre de gueules de la main et un sceptre d'or de la gauche, et à senestre d'or à un rai d'escarboucle de sable ». Sainte Rictrude, veuve d'un noble mérovingien, a été à l'origine de la fondation de l'Abbaye de Marchiennes au VIIème siècle.

Origines

Toponymie :

Bairerium en 646 - Rictrudus Valla en 1178 - Boiry Ste Rictrude en 1720.

Nom romain avec suffixe acum.
La forme composée fait référence à Rictrude, veuve d’un noble mérovingien qui a donné la terre de Boiry pour fonder l’abbaye de Marchiennes.

 

Vie religieuse

Vocable : Boiry Sainte Rictrude.

Première mention  connue lieu du culte autel :  Autel 1103.

Première mention connue paroisse : fin XIIIème siècle.

 

A noter

Des origines au XIXème siècle :

Certains villages non érigés en paroisse sont desservis par le prêtre de la paroisse-mère ou son vicaire. Se sont de secours ou annexes.

Sources : B Delmaire « le diocèse d’Arras de 1093 au milieu du XIVème siècle ». MCDHA PDC, Tome XXXI, Arras 1994

Démolie et reconstruite en 1778 ou 1779 selon le questionnaire de 1790. L’église et le presbytère « coûtèrent aux habitants de la paroisse 2 800 livres, sans compter les corvées en voiture à bras ». Pendant la Révolution elle sert de fabrique de salpêtre (vendue comme bien national le 5 vendémiaire An 8 à Benoît Derisbourg pour 90 200 francs). Deux petites cloches marquées en lettres gothiques ont été supprimées pour être fondue en 1793.

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Le village

Le calvaire :

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La chapelle :

L'autorisation de construction d'une chapelle est accordée par le préfet le 8 Mai 1806.

Dame d'Anzin , veuve Goubet , fermière à Boiry Ste Rictrude ,  est autorisée à faire reconstruire une chapelle près de l'église dans laquelle aucun culte ne devra être célébré .

Donation à la famille Cossart en 1865.

Lors de la destruction du village en 1917 , la chapelle fut épargnée par l'occupant allemand;

Dans la crypte reposent les corps de :

Léontine Cossart décédée à Boiry Ste Rictrude le 26 Mai 1824 à l'âge de 28 ans

Francoise Cossart , veuve Carpentier et veuve de Pierre Cossart décédée à Boiry Ste Rictrude le 25 Février 1836 à l'âge de 65 ans

Eugène Cossart décédé à Arras le 5 Mars 1886 à l'âge de 46 ans

Ursule Dubron épouse de Philippe Auguste Cossart décédé à Arras le 6 Avril  1889 à l'âge de 77 ans

Auguste Cossart décédé à Mont Rouge le 24 Avril 1902 à l'âge de 64 ans

Jenny Dubron épouse de Eugène Cossart décédée à Arras le 5 Mai 1921 à l'âge de 78 ans

 Source : Chroniques villageoises -Marcel Chartrez - AHF - 2004/2005

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Mairie :

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La sucrerie :

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LE BUREAU DE L'ASSOCIATION

2Jean-Marie SouillartPrésident.

13124649_1009797282444682_1506139476963151559_nClaire Chambéry, Secrétaire.

DSC03412Marthe SouillartTrésorière.

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